
L’Ajyal film festival se déroulera du 18 au 23 novembre.
It must be heavens
Le film présenté ce soir à l’ouverture, “It must be heavens”, a reçu la mention spéciale du jury et le prix de la critique au festival de cannes. ES, le personnage principal, fuit la Palestine sa terre d’origine. Il se rend de Paris à New-York, mais son pays le suit comme une ombre, tout lui rappelant sa patrie.
À travers cette fable burlesque, le réalisateur Elia Suleiman explore les questions de l’identité et de l’appartenance, tout en s’interrogeant : Où peut-on se sentir chez soi ?
The Farewell
Autre film acclamé par la critique, et couronné d’un prix au festival de Sundance : The Farewell. Ce long métrage est basé sur l’histoire vraie de la réalisatrice. Il comte l’histoire d’un mariage organisé à la hâte. La vraie raison : dire au revoir à Nai Nai, la grand-mère, qui souffre d’une longue maladie, mais qui l’ignore. Pour passer les derniers moments de sa vie ensemble, les convives viennent du monde entier laissant entrevoir des habitudes culturelles bien différentes de leur pays d’origine, la Chine.
Sorry we missed you
Enfin, « Sorry we missed you », autre film primé au festival de cannes, nous offre une peinture sociale et une critique acerbe de l’ubérisation. Ken Loach, cinéaste engagé, s’interroge sur le sort de ces « pseudos-entrepreneurs », nouvelle classe d’exploités formant le lumpenprolétariat du XXIeS.
Films pour enfants
Du côté des films pour enfants, notons la projection du manga de Daisuke Igarashi, « les enfants de la mer », réalisée par Ayumu Watanabe. Mais aussi, « Away » du lettonien Gints Zilbalodis qui offre un voyage poétique, à travers le parcours en moto d’un garçon et d’un oiseau, métaphore de l’émancipation.
Le programme
Pour consulter le programme du festival, rendez-vous sur la page Ajyal film festival du Doha Film Institute.
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